« Les bisons blancs » de Gustave Aimard
Le Far-West américain du début de la colonisation est ici dépeint de façon touchante, presque naïve avec un lexique local riche qui donne à se représenter un monde en pleine mutation. Écrits en 1876, la nature même de ces récits mi-fictifs, mi- autobiographiques est mise à l’épreuve lorsque l’auteur (ou le narrateur) s’adresse par moments directement au lecteur, procédé saisissant pour l’époque.